« Ils vont par groupe de deux ou trois, pratiquant un travail dur et dangereux : le tronc d’arbre est fixé sur un chevalet de près de deux mètres de haut, et l’un des scieurs sur la poutre guide le travail de la scie, tandis qu’un autre fournit tout l’effort, la sciure dans les yeux. »

Gérard Berger. Le Pays de Saint-Bonnet le Château de 1775 à 1975.1985

Un ancien scieur de long auvergnat raconte les dures conditions de travail de cette activité forestière. 
Sa voix « sort » d’une planche, s’échappe de la malle de voyage, une souche de bois garde encore le souvenir du chant des scieurs.

Une forêt, une malle de voyage, un atelier en plein air, l’ébauche d’une cabane de planches constituent le décor simple de cette rencontre avec ce métier si particulier !

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